« Je m’appelle Sidonie Gabrielle Colette. Je veux faire ce que je veux... Je veux danser nue, si le maillot me gêne et humilie ma plastique. » Ainsi parle celle qui, avant de devenir la plume frondeuse et sensuelle du XXe siècle, se produisit quelques années durant, de cabarets en music-hall.
De cette expérience d’artiste libre, allumant passions et scandales, ainsi que de nombreux écrits de Colette, Geneviève de Kermabon s’inspire, pour leur donner une vie théâtrale. Qui mieux que cette ancienne acrobate pouvait nous convaincre que « le corps pense » et que « la peau a une âme » ? Rencontre sur le vif de deux grandes femmes de scène !
























